C’est le genre d’histoire qui vous redonne la foi en l’humanité. Alors qu’on s’use à dire que le monde va dons le pire sens possible, cette histoire nous rappelle qu’il existe encore des gens bien sur cette terre. Un SDF, qui ne possédait rien, avait fait preuve de bonté d’âme et de simplicité. Après avoir vu un chèque 8000 euros, cet SDF décide de le rendre à son propriétaire. Suite à son geste, celui-ci a donc été récompensé.
Un homme sans domicile montre qu’il a bon fond et surprend tout le monde !
C’est dans les colonnes d’un célèbre magazine américain que l’on découvre l’étonnante histoire d’Elmer Alvarez. Après avoir tout perdu à cause de la drogue et de sa mauvaise gestion de son argent, Elmer Alvarez se retrouve dans la rue et sans un sou. De ce fait, ce dernier avait tout perdu, y compris son travail, et atterrit dans la rue. Ce n’est qu’une fois devenu SDF qu’Elmer Alvarez s’était rendu compte de son erreur et décide de changer.
Mais il a très vite eu la chance de prouver qu’il a vraiment changé. Un jour, le SDF était tombé sur un chèque de 10 000 dollars, soit près de 8 000 euros. Face à la tentation, un homme normal aurait décidé d’empocher le chèque et de garder l’argent. Mais ce ne fut pas le cas d’Elmer Alvarez.
Le SDF décide de retrouver le malheureux propriétaire du chèque de 8000 euros et de le restituer !
Elmer Alvarez savait qu’il s’agissait d’une très grosse somme d’argent. De ce fait, la personne qui l’a perdu a surement paniqué après cela. De ce fait, l’ancien toxicomane décide de faire tout ce qui est en son pouvoir pour retrouver le propriétaire du chèque, et de le lui rendre. Après des recherches, il découvre enfin que le chèque appartenait à une certaine Roberta Hoskie, une courtière immobilière de New Haven.
Quelle a été la surprise de cette dernière lorsqu’elle a retrouvé son chèque ? Pour remercier Elmer Alvarez de sa générosité et de sa droiture, la courtière décide donc de faire un geste surprenant. La courtière a alors trouvé un appartement pour le SDF. Mais ce n’est pas tout. Elle s’est engagée à payer les sept premiers mois de son loyer, le temps de laisser à l’homme l’occasion de retrouver un travail. Et le plus surprenant, c’est qu’elle a aussi inscrit son bienfaiteur dans une école immobilière.