Alors qu’il commençait à relancer sa carrière d’acteur, Ary finit par être abandonné de tous. Ces proches lui tournent le dos et il se voit aussi être rejeté des films dans lesquels il joue actuellement. Et le pire dans toute cette histoire, c’est qu’Arthur l’évite aussi. Qu’est-il arrivé à leur belle amitié ? Comment se passe cette histoire d’accusation à l’encontre d’Ary Abittan ? Découvrez les détails de cette histoire dans notre article.
Affaire Ary Abittan : le comédien dans une histoire de viol !
Apparemment, le comédien ne serait pas aussi clair qu’il nous laisse voir. Comment à t il fait pour être au milieu de problèmes de ce genre. Pourtant, Ary Abittan était une personne calme, posé et surtout quelqu’un de très jovial. Mais comme on le dit si bien, les apparences sont souvent trempeuses. Devenue une icône dans l’art de faire rire, Ary souhaite élargir son champ d’action.
C’est ainsi qu’il finit par devenir acteur. L’un de ses films les plus connus reste « qu’est-ce que j’ai fait au Bon Dieu ? ». Mais en dehors de celui-ci, il a aussi eu de grands rôles dans de nombreux autres films. Alors que Ary Abittan préparait un autre film, il a été retiré du casting, en raison de cette examinassions pour une affaire de vi*l. Alors que l’acteur a en ce moment le plus besoin de l’aide de ses proches, ces derniers le quittent peu à peu.
Arthur aussi va-t-il quitter son ami de toujours ?
Alors quelles les accusations n’ont pas encore été prouvées, Ary Abittan commence à perdre le bénéfice du doute. En effet, le dossier de l’accusation semble être très solide et le comportement du comédien n’arrange rien aux faits. Alors qu’il devrait se défendre, l’accusé préfère ne faire aucun commentaire et s’isole dans son coin. On croirait presque qu’il attend sagement sa sentence.
De son côté, son ami de longue date, Arthur, ne semble pas vouloir lui venir en aide. En effet, n’a daigné faire qu’un petit commentaire sur la situation. « Je crois qu’aujourd’hui, Ary Abittan n’a pas envie de faire de la télévision. » Déclare-t-il devant les micros de nos confrères du Parisien.