La jeune femme est devenue très célèbre dans le monde du rire. Entrée depuis peu dans la quarantaine, Blanche Gardin surprend ses fans. Avec ses sketchs hilarants, elle continue de faire parler d’elle. Mais en réalité, la vie de comédienne ne lui a pas si bien réussi que ça. Actuellement, elle aurait eu une longue série de drames dans sa vie.
Blanche Gardin : une première vie rocambolesque !
Avant d’être reconnue à la télé, Blanche Gardin a véritablement dû se battre corps et âme. « Avec une amie, on s’est dit, allez, on va se tuer. » Dit-elle avec un ton ironique en parlant de ses débuts. Et effectivement, c’était un véritable travail d’arrachepied qu’elle avait fait pour devenir ce qu’elle est aujourd’hui. Pendant plus de 9 mois, elle et son amie se sont retrouvées à voyager partout à travers l’Europe.
Blanche Gardin explique même qu’à un moment de sa vie, elle s’est retrouvée sous un pont, en Italie. Effectivement, elle avoue avoir déjà fait la manche pour survivre. Et dans ce genre d’univers, les LSD étaient une monnaie courante. Puis son petit ami fait une overdose et meurt, ce qui l’incite à rentrer à Paris pour vivre chez ses parents. Mais tout ça, ce n’est plus que de l’histoire, c’est ce qu’elle aime à croire en tout cas !
La comédienne internée dans un hôpital psychiatrique ?
Avec sa manière de parler sans filtre et souvent tranchante, Blanche Gardin a su créer son propre style sur scène. Et c’est pour cela que les fans l’adorent. Dotée d’un humour très cru, elle a su se frayer un chemin jusqu’au sommet. Lors d’une interview avec People Act Magazine, la quadragénaire explique une anecdote surprenante. En effet, elle aurait écrit son tout premier spectacle alors qu’elle était internée dans un hôpital psychiatrique.
Selon ses dires, elle aurait été incitée par sa psy à « écrire une sorte de biographie ». Et c’était de là que lui était parvenue l’idée d’écrire un spectacle. « Quand je suis sortie de l’hôpital, je me suis mis en tête d’écrire tout ça en anglais et d’aller tenter ma chance outre-Atlantique dans le vrai pays du stand-up. En réalité, j’étais morte de peur à l’idée que mon nombrilisme n’intéresse pas le public français. » Ajoute-t-elle ensuite.