La première dame du Rocher traverse actuellement une période extrêmement compliquée actuellement. Entre soin à l’étranger, et la tristesse de ne pas pouvoir voir ses deux jumeaux, le prince Jacques et la princesse Gabriella, Charlène de Monaco essaie tant bien que mal de s’en sortir. En tout cas, Stéphanie de Monaco sort de son silence et nous livre des confidences.
Stéphanie de Monaco nous parle de sa belle-sœur
En effet, sa belle-sœur Stéphanie de Monaco nous a résumé la situation. Au cours d’une interview avec le média Gala, elle nous livre quelques confidences. Elle y parle notamment du rôle qu’elle jouait au côté de Charlène de Monaco. Stéphanie de Monaco était comme le pilier de la première dame sur le Rocher, unies par leur passion des animaux.
« Je sais que personne n’est à l’abri de rien et que personne n’est au-dessus de personne », a-t-elle ajouté selon Gala. « Si les gens vivaient la vie d’une princesse, ils vivraient beaucoup moins. Nous sommes des êtres humains comme les autres avec nos peines, nos joies, nos rires et nos pleurs. Sauf que nous souffrons toujours en public » a déclaré la princesse monégasque, mère de trois enfants.
Stéphanie et Charlène, rapprochées par les épreuves
Stéphanie de Monaco était aux côtés de son frère Albert II, à l’aéroport de Nice, pour accueillir Charlène à son retour d’Afrique du Sud. Et apparaissait grave lors de la fête nationale monégasque, ce vendredi 19 novembre. La princesse, qui sait ce qu’est une vie traversée d’épreuves, est apte à comprendre Charlene.
« Charlene a l’envergure, le potentiel pour prendre toute sa place auprès de mon frère et jouer un rôle très important pour notre pays. C’est une femme forte, peut-être parce qu’elle est sportive de haut niveau… », déclarait Stéphanie de Monaco dans Paris Match, en 2001. « Mais elle est aussi très sensible. J’essaie de la rassurer, de l’aider, parce que je l’aime beaucoup, on est très proches. Je peux jouer un peu la grande sœur par moments, parce qu’il est important qu’elle se sente soutenue, qu’elle ait quelqu’un à qui se fier. » ajoutât la sœur du Prince Albert.