Franck Dubosc a été invité par Audrey Crespo-Mara lors de la promotion du téléfilm La dernière partie sortie le 8 novembre. Et dans le film, on le perçoit comme étant un avocat qui ne dispose pas de temps pour se réconcilier avec son père avant que ce dernier ne meure, l’euthanasie.
Franck Dubosc parle de la mort de son père
Dans le film, on l’observe au côté de ce père mourant à cause de la maladie de Charcot et n’a plus beaucoup de temps. Il faut dire que ce film s’inspire de ce que l’acteur a réellement vécu. Il faut dire que son père a aussi choisi l’euthanasie suite à sa maladie, qui lui aussi a été atteint de la maladie de Charcot. Au Festival de La Rochelle, Franck Dubosc brise le silence : « Un jour, ma mère m’a dit : “Papa va mourir mardi”. Tu es d’accord ? J’étais en tournée, je suis revenu voir mon père une dernière fois. Il avait la maladie de Charcot.
Il était très affaibli, mais il pensait que cela suffisait. Je vois donc la douleur d’écrire ces mots où, en fait, il ne parle pas de moi, il parle de la maladie. ». Et la mort de son père a laissé une grande marque dans sa vie. Pour preuve, Franck Dubosc est toujours aussi bouleversé lorsqu’on parle de son père vingt ans après.
L’humoriste est très discret sur ses sentiments
Sur le plateau de Sept à Huit, lors de son face-à-face avec Audrey Crespo-Mara, il raconte qu’il se souvient de la première fois où il s’est produit à l’Olympia. Et il faut dire que son père, à qui il n’avait jamais ses sentiments, était très fier de lui. Franck Dubosc confie : « Il m’a donné un dessin, que je garde toujours dans mon agenda. C’est un dessin de moi sur la scène de l’Olympia. Mais c’est dessiné comme un enfant parce qu’il ne pouvait plus se servir de ses mains. ».
Et c’est seulement plus tard qu’il va remarquer les mots qui étaient inscrits sur le dessin. Des mots qui sont pour lui difficiles à lire. En effet, Franck Dubosc avoue que son père lutte contre cette terrible maladie. D’ailleurs, il dit qu’il va gagner. Il se rend alors compte : « Ce qui me rend le plus triste, ce n’est pas ce qu’il a écrit. En fait, c’est la façon dont il a écrit comme un enfant, parce qu’il ne pouvait plus écrire. ».