Vous, fonctionnaires d’État qui êtes sur le point de prendre votre retraite, voici un message qui devrait vous intéresser. Une petite erreur a récemment été signalée concernant la déclaration préremplie. De ce fait, il serait nécessaire donc que vous procédiez à quelques vérifications. Pour cela, nous vous invitons à vérifier la liste suivante. Il s’agit d’une liste non-exhaustive des impôts et des taxes que vous devez impérativement mentionner dans votre déclaration pour éviter le bug.
L’impôt sur l’indemnité de fin de carrière !
C’est surement le premier impôt qu’on doit payer en tant que retraité. Si les jeunes retraités touchent une indemnité de fin de carrière, ils doivent pourtant s’acquitter d’un impôt. Il existe deux cas qui peuvent se produire. Mais dans les deux cas, le retraité doit payer un impôt qui résulte d’une exonération qui peut être partielle, dépendamment du montant de l’indemnité.
L’impôt sur le revenu: un des impôts les plus important pour éviter le bug !
Comme nous vous l’avons déjà expliqué plus tôt, chaque revenu légal doit s’accompagner d’impôt à payer. Et vu que la pension alimentaire est définie de la sorte, les retraités sont naturellement obligés de payer l’impôt sur le revenu. Une fois encore, la somme à payer variera en fonction du montant de la pension.
Le prélèvement effectué à la source sur les rentes ou le capital !
Le prélèvement à la source a été adopté en 2019. Depuis, il s’applique aussi sur les revenus touchés une fois à la retraite. De ce fait, les rentes de régimes supplémentaires à l’exemple du préfon, du PER entreprise, du contrat Madelin et du Perp sont aussi concernées.
La CSG: impôts à mentionner pour éviter le bug !
Les retraités doivent aussi s’acquitter de la fameuse contribution sociale généralisée (CSG). Le taux de la CSG varie en fonction du revenu fiscal de référence du ménage. Ainsi, il est alors possible de s’exposer aux différents niveaux suivants : 3,80 %, à 6,60 % ou à 8,30 %.
La CRDS: à ne surtout pas oublier
Puis, les personnes âgées doivent aussi payer la contribution additionnelle de solidarité pour l’autonomie (CASA) si leur revenu fiscal de référence dépasse les 14 915 euros pour une personne célibataire et 22 879 euros pour un couple. Son taux, 0,3 %, frappe les revenus bruts de retraite. Avec toute ces impôts et l’inflation des prix actuels, les retraités se retrouvent eux aussi dans une situation de précarité.