Celle qui a chanté « Là-bas » en duo avec lui a été sauvagement tuée quelque temps après la sortie du titre. Depuis la mort de celle-ci, son fils aurait essayé de joindre Jean-Jacques Goldman à mainte reprise. Mais à chaque fois, le chanteur ne daignait jamais le rependre. Qu’est-ce que le chanteur émérite a à avoir avec cette histoire ? Et pourquoi refuse-t-il de parler avec le fils de la défunte Sirima?
Le succès de Jean-Jacques Goldman et Sirima : là-bas !
Il arrive souvent que deux artistes travaillent ensemble pour créer un œuvre qui vise à toucher le public. Avec son talon et sa renommée, Jean-Jacques Goldman était très vite devenu un véritable phénomène de la musique. Il avait conquis tous les auditeurs possibles, tant sa musique était unique. Mais malgré cela, il décide de partager sa nouvelle création avec l’un de ses confrères. C’est ainsi que le chanteur finit par partager le titre Là-bas avec Sirima Wiratunga, une chanteuse de l’époque.
Une fois encore, Jean-Jacques Goldman rencontre du succès. Il faut avouer que la participation de Sirima a eu son importance sur le succès de la chanson. Mais malheureusement pour Sirima, elle n’aura pas le temps de profiter de sa réussite. En effet, la chanteuse a été retrouvée morte après avoir été poignardée. Plus de 30 ans plus tard, le fils de la défunte sort enfin du silence et partage des infirmations compromettantes.
Le fils parle de ce qui s’est passé la nuit de la mort de sa mère !
Malgré le drame qui s’est passé, Jean-Jacques Goldman n’a jamais mentionné quoi que ce soit concernant l’affaire. C’est comme s’il évitait complètement de parler de la mort de Sirima. Sirima Wiratunga n’avait encore à l’époque que 25 ans. Pourtant, une belle carrière de chanteuse se profilait déjà devant elle. Mère aimante et femme accomplie, la jeune chanteuse avait tout pour être heureuse.
Mais plus tard, sa vie tourne au drame lorsque son mari, Kahatra Sasorith, devient violent. Durant la nuit du 6 au 7 décembre 1989, Sirima a perdu la vie après une interaction avec son mari. Kahatra Sasorit, emporté par la colère, lui assène plusieurs coups de couteau dans le cœur. « C’était dur de tout saisir et de reconnaître que mon père avait tué ma mère. » Ajoute alors le fils de Sirima des années plus tard.