Après leur mariage, le couple royal ont scellé leur vie ensemble. Mais avant l’arrivée de Kate Middleton dans sa vie, le fils ainé de Lady Diana a pu compter sur le soutien d’une personne qui a toujours été très proche de lui, la reine Elizabeth II. En effet, il fut un temps où le prince William souffrait de dépression.
Les petites histoires de la famille royale britannique !
Depuis des générations, la reine Elizabeth II d’Angleterre n’a jamais failli à son rôle de régente. Au fil des années, elle a vu passer des drames, mais n’a jamais vacillé. Particulièrement proche d’elle, son petit fils William est arrivé vers elle dès son enfance et a fait fondre son cœur déjà endurci par sa longue vie. Et lorsque le duc de Cambridge a grandi, sa relation avec la reine s’est encore renforcée.
Bien que les deux soient très proches, la reine s’est longtemps voilé la face et évite de voir la vérité qui était pourtant claire. C’est le prince Philip, défunt époux de la régente, qui a eu le courage de dévoiler le problème. Côtoyant le prince William depuis sa tendre enfance, il découvre très vite que celui-ci montre des signes de dépression. Vu ce que le prince a vécu, il n’y a rien de surprenant dans tout cela.
Le prince William souffrant de dépression!
Suite à la séparation de ses parents, Lady Di et le prince Charles en 1995, le prince William a commencé à ne plus se sentir à l’aise dans sa peau et souffrir de dépression. Avec toutes ces histoires concernant les relations extra-conjugales de ses parents, le moral du jeune prince a fini par en pâtir. Et pour finir le tout, il a dû faire face à la mort subite de sa mère, suite à un accident de voiture.
Devant tant de drame, la reine Elizabeth ne restait pas sans bouger. En effet, la régente a décidé de prendre son petit-fils, le prince William souffrant de dépression en main. Pour l’aider à surpasser cette épreuve, la reine décide de passer du temps avec lui et fait son éducation. Grâce à l’intervention du Monarque, le duc de Cambridge a pu devenir le prince modèle qu’il est aujourd’hui.