C’est effectivement un nouveau danger de la société que l’UFC que choisir nous dévoile cette semaine. Il s’agit d’une usurpation d’identité qui est à la base d’un détournement de marque ou le brandjacking. Sur internet, on peut effectivement tout voir, compris les mauvaises choses. Alors que les numérisations des informations deviennent de plus en plus pratiques, nous assistons à une forte exposition à des pratiques illégales. En effet, cette numérisation met les malfaiteurs et les arnaqueurs à leur aise.
Usurpation d’identité : attention au brandjacking !
Ce n’est plus vous que les malfaiteurs et les usurpateurs visent. En effet, ces derniers ont trouvé une manière de vous atteindre indirectement. Alors que les grandes marques travaillent dur pour se construire une image et une réputation, les usurpateurs en profitent. Effectivement, ces derniers décident même de s’en prendre à ces grandes marques. En effet, les usurpateurs ont eu la terrible idée de se faire passer pour ces marques dont vous avez du mal à vous en passer.
Interflora, Comme J’aime, Fnac, Relais & Châteaux et Carglass… toutes ces marques ont été la cible d’une usurpation d’identité. Et le pire, c’est que ce sont de grandes entreprises indépendantes qui mettent en pratique cette méthode déloyale. Avec cette méthode, ces entreprises et ses usurpateurs espèrent attirer plus de clients et de consommateurs. Et bien entendu, cette manœuvre peut avoir des conséquences néfastes pour les marques cibles.
Une pratique déloyale, mais pourtant légale !
Cette méthode d’usurpation d’identité s’appelle le brandjacking. Et au risque de vous surprendre, il s’agit effectivement d’une méthode légale. Cette pratique à la fois malhonnête et déloyale consiste à se faire passer pour une grande marque afin d’en tirer des profits. Pour ce faire, les escrocs achètent des mots-clés sur Google, qui sont des patronymes ou des noms d’entreprises bien connus. Il s’agit donc d’une usurpation d’identité pour arriver en tête des résultats de recherche sur le moteur de recherche.
« Lorsqu’on cherche par exemple l’occurrence “Comme j’aime” sur Google, la société officielle n’apparaît pas en première position, » nous explique l’UFC-Que Choisir. En effet, un bon nombre de marques souffre déjà de cette méthode frauduleuse. Et le pire, c’est que les consommateurs n’y voient que du feu. En effet beaucoup de clients ne se rendent pas compte qu’ils ont affaire à des malfaiteurs et des usurpateurs.