Nathalie Marquay n’avait pas assez de force pour se remémorer chaque jour tout ce qu’elle a vécu avec son mari dans cette demeure. Pour se soulager de son lourd fardeau donc, Nathalie Marquay décide de déménager à Antony. Mais une fois là-bas, elle a encore eu du mal avec son deuil. Après avoir vécu 20 ans avec le père de ses enfants, il est tout à fait normal qu’elle ne supporte pas son absence.
Nathalie Marquay se confie à Antony !
Emporté le 2 mars dernier après avoir résisté à un cancer du poumon, Jean-Pierre Pernaut a laissé sa femme inconsolable. Bien que la maladie lui avait donnée le temps de se préparer à cela, l’ancienne reine de beauté ne s’est toujours pas faite à l’idée de ne plus revoir le père de ses enfants. Effectivement, Nathalie Marquay vivrait très mal son deuil et a décidé de partir pour Antony. Loin de Lou et Tom Pernaut, ses enfants, elle se sent encore plus seule que jamais.
Et pour oublier tous les souvenirs qu’elle a eus de sa famille, Nathalie Marquay décide de quitter sa résidence pour aller s’installer à Antony. Mais une fois encore, la douleur ne la laisse pas tranquille, elle n’arrive pas à oublier son époux. Les deux se sont partagé leur vie pendant plus de 20 ans et se sont toujours soutenus dans le pire comme dans le meilleur. Mais une fois à Antony, la veuve se rappelle des mots de réconforts de Jean-Pierre Pernaut.
Elle fait face au deuil, avec les conseils de Jean-Pierre Pernaut !
Ironie du sort, ce sont les mots du défunt lui-même qui aident Nathalie Marquay à supporter son absence. Dans les colonnes du magazine Le journal de France, Nathalie Marquay se confie sur son deuil alors qu’elle est installée à Antony. Alors qu’elle n’arrivait pas à avancer, l’ancienne Miss France s’est alors souvenue des paroles de Jean-Pierre Pernaut.
En effet, les conseils de son mari auraient atterri dans son cœur et l’auraient aidé à aller de l’avant. « … C’est regarder toutes les bonnes choses de la vie et d’essayer d’en profiter. Il y a toujours de belles choses à côté de celles qui sont tristes ou dramatiques. » C’était les mots du défunt époux de Nathalie Marquay.