Le dimanche 23 avril prochain, « Zone interdite » reviendra sur M6 et dévoile une nouvelle histoire sordide. Pour cette fois, l’intrigue tournera autour de la vie d’Ophélie Meunier, qui a reçu des menaces de mort. C’était en 2022 que le drame de cette dernière avait commencé. La journalise et les membres de sa famille ont été menacés de mort par plusieurs personnes. De ce fait, celle-ci a fini par être protégée par la police. On vous invite à découvrir les détails de la triste histoire d’Ophélie Meunier.
Zone interdite : un autre témoignage glaçant !
« Zone interdite » est une émission de télé très suivie à travers le pays, mais qui est toutefois très controversée. En janvier 2022, le programme avait diffusé un documentaire sur le séparatisme et l’islam radical. Suite à la diffusion de cette enquête, de nombreux débats ont été lancés en France. De ce fait, les journalistes se sont retrouvés inondés de questions ainsi que de réactions assez étonnantes et virulentes de la part de certaines personnes.
Ayant pris part à cette enquête, Ophélie Meunier s’était donc retrouvée dans une situation plus que regrettable. Quelques jours après la diffusion de l’enquête, la journaliste avait commencé à recevoir des appels et des messages menaçants. Plus tard, les membres de sa famille ont aussi reçu des menaces de mort. C’est pour cette raison que le ministre de l’Intérieur décide donc de prendre les choses en main. Ainsi, la journaliste Ophélie Meunier et toute sa famille ont reçu une proposition de protection.
« Les menaces étaient accompagnées d’insultes sex*stes »
La journaliste Ophélie Meunier est une mère de famille, qui a deux enfants, Joseph et Valentine. Ces derniers sont encore très jeunes, puisqu’ils étaient respectivement nés en juin 2019 et en octobre 2021. Suite à toutes ces menaces qu’elle avait reçues, la journaliste donc de déposer une plainte. Pour se faire aider, elle se tourne donc vers un militant associatif qui a vécu le même calvaire, Amine Elbahi.
Six mois plus tard, en 2022, Ophélie Meunier a exprimé sa satisfaction concernant l’enquête menée contre ses opposants dans les pages du magazine ELLE. Elle a déclaré : « Il y a eu une enquête et certains auteurs des menaces ont été identifiés, » a-t-elle expliqué. Elle affirme alors que cela confirme bien le fait qu’elle a eu raison de vouloir porter plainte.