En achetant le collège Royal de Thiron-Gardais, Stéphane Bern pensait effectivement faire une bonne affaire et rester loin des dettes. Pour rappel, le collège Royal de Thiron-Gardais était après tout classé monument historique du pays. Malheureusement, Stéphane Bern a eu droit à plus de mauvaises surprises que prévu. En effet, ce dernier ne s’attendait pas vraiment à ce que les travaux soient couteux. À cause de ce terrible changement de programme, ce dernier se retrouve sans solution. Malgré le fait qu’il se soit installé dans la résidence, avec Yori Bailleres, d’importantes charges financières ont fini par avoir raison de ses moyens.
Les mésaventures de l’animateur télé !
Stéphane Bern est effectivement un présentateur que l’on ne présente plus. Connut pour son émission « Secrets d’histoire », ce dernier a marqué le petit écran par son sérieux et sa passion. Et depuis tout ce temps qu’il a passé à la télé, Stéphane Bern a réussi à amasser une petite fortune. Le moins qu’on puisse dire, c’est que l’animateur avait su mettre en valeur son talent et ses atouts.
Et depuis, celui-ci s’était permis d’acheter le Collège royal de Thiron-Gardais, qui a été classé monument historique depuis 2013. Mais ce n’est pas le seul bien qu’il possède, puisque Stéphane Bern dispose aussi d’un appartement dans le 9e arrondissement de Paris et une maison à Paros, en Grèce. Mais récemment, Stéphane Bern s’était retrouvé dans l’obligation de se séparer de l’un de ses biens immobiliers les plus importants, à cause de ses dettes.
Stéphane Bern face à de nombreuses dettes, il se retrouve obligé de se débarrasser de sa maison !
Apparemment, le célèbre animateur a dû procéder à quelques réajustements concernant ses finances. Afin de supporter ses nombreuses dettes, ce dernier a dû se défaire de sa maison en Grèce. Se confiant devant les micros de nos confrères du Parisien, le célèbre animateur et entrepreneur a donné quelques détails concernant ses soucis actuels. Apparemment, tous ses soucis d’argent viendraient du Collège royal de Thiron-Gardais.
En effet, les rénovations du collège lui auraient pris un peu plus de temps et de moyens que prévu. « Je l’ai acheté dans un état très dégradé pour le prix d’un petit appartement parisien : 300 000 euros. Au départ, j’avais été informé que la restauration ne me coûterait que 150 000 ou 200 000 euros. Or, il y a eu de nombreux imprévus, notamment la pourriture sèche. Par conséquent, je me suis endetté au-delà de mes moyens : j’ai 4 millions d’euros à rembourser sur 25 ans, » explique-t-il.