Le jeudi 11 mai dernier, le conseil municipal a été tenu pour les Sanclaudiens. Lors de ce conseil, les endurcissements tournaient autour des impôts. Alors que les impôts enregistrent une hausse générale, un autre fait a été remarqué. Apparemment, les taux des taxes seraient restés plus ou moins stables depuis un long moment, ce qui peut mener à une petite confusion. Comment ces taux peuvent-ils être stables, alors que le pays enregistre une hausse des taxes? Découvrez tout de suite la réponse à cette question dans la suite.
La déclaration d’impôt approche : avez-vous déjà fait votre déclaration ?
En effet, il serait temps pour vous de faire votre déclaration. Depuis une semaine, la période de déclaration a été ouverte. Bien qu’il reste encore quelques semaines, il serait préférable de vous en charger le plus tôt possible. En effet, des imprévus peuvent vous arriver à tout moment. Et en cas de retard ou d’oubli, vous serez bien évidemment sanctionné.
Chaque année, vous devez faire votre déclaration afin de faire connaître votre situation au gouvernement. De ce fait, toutes vos sources de revenus doivent être déclarées. Une fois encore, un oubli sur ce point peut encore vous pénaliser. C’est pour cette raison qu’il vous serait préférable de régler ce détail le plus tôt possible. Puis, l’État c’était assuré que la déclaration soit de plus en plus facile faire. En effet, des documents préremplis vous seront fournis.
Saint-Claude : une hausse des taxes pourtant stables depuis plus de trente ans !
Les impôts coûtent cher aux Sanclaudiens, c’est rien que de le dire. En effet, il s’agit d’un problème que la municipalité auquel la municipalité fait face depuis des années. Mais pendant la direction de Pierre Guichard, maire dans les années 90, un très bon constat a été fait. Depuis cette période, le taux de la taxe foncière est effectivement resté stable.
Il y a 30 ans, Pierre Guichard était encore le maire de la commune de Saint-Claude. Et c’est sous son mandat que le taux de la taxe foncière est passé de 29,60 % en 1991 à 34,96 % en 1992. Bien que ce taux ait enregistré une baisse en 2013, la différence ne s’était pas vraiment fait ressentir. Depuis, le taux sur la taxe sur les biens immobiliers et fonciers sont restés autour de 33 %.